Certaines personnes affirment avoir constaté la sortie de l'âme d'un mourrant décèdé tout récemment :<< soit sous forme de vapeur légère (aura), d’effluves plus denses (ectoplasme), ou même de corps astral visible et vaporeux (homonculus ou dédoublement), se détachant littéralement de la dépouille du défunt. Certains sensitifs – on parle de psychiques – auraient même une vue exacerbée par rapport à l’homme moyen pour percevoir les âmes quand elles s’échappent des corps.>>
Puisque l'âme a été visualisé ,il y aurait matière
D'où l'idée qu'ont eu certains scientifiques de tenter des expèriences de pesage
<<La rumeur court que les nazis n’auraient pas hésité à entreprendre une telle expérimentation dans leurs camps de la mort. Officiellement, le premier à s’être lancé dans ces expériences singulières de ‘gravimétrie animique’ est, en 1906, le Dr Duncan MacDougall, médecin américain au Massachusetts General Hospital de Boston, aidé par le Dr Sproull. De ces terribles pratiques de double-pesée de mourants, il aurait pu déduire : « Votre âme, Messieurs, pèse 21 grammes environ !». Il opéra avec une balance à fléau en plaçant six malades et rapporta un déséquilibre correspondant à une perte de poids de 11 à 21 grammes >>
<< Pour réaliser ces évaluations, MacDougall avait sollicité l’aide volontaire de malades dits au stade terminal – des tuberculeux – et quand leur état ne leur laissait manifestement plus que quelques heures à vivre, il les plaçait sur un lit posé lui-même sur une charpente légère, laquelle servait de bascule sensible. Si bien que leur poids était suivi à 3 grammes près, sensibilité révélée du système de pesage. Les sujets cobayes étaient choisis parmi les plus épuisés physiquement afin que, par des soubresauts musculaires, ils ne viennent pas malencontreusement fausser la mesure ! En fait, les deux médecins constatèrent que les moribonds, encore vivants, perdaient déjà du poids et cela régulièrement, le phénomène étant certainement dû à une déshydratation par la sueur et la respiration : de 20 à 28 g/heure fut-il déterminé. D’ailleurs, plus l’instant fatal se rapprochait, plus cette déperdition se ralentissait pour donner lieu, au moment présumé du décès, à un soudain écart à la baisse se situant à 20, plus ou moins 8 à 9 grammes. Etait-ce là l’indice tangible que « quelque chose » quittait soudain le corps, l’allégeant d’autant ?
>>
<<Pour affirmer que c’est bien l’âme qui s’exhale ainsi au moment précis de la mort, encore faut-il avoir éliminé toutes les autres causes plus pragmatiques susceptibles de justifier cette diminution soudaine de poids. L’air, par exemple, échappé des poumons lors du dernier souffle ? Exclu, répond MacDougall, estimant sa masse à un gramme, guère plus. Les effets de flatulence furent approximés à ce même ordre de grandeur, tandis qu’il était atrocement précisé que les ‘pertes’ de vessie et intestin, souvent constatées juste après le relâchement final, restaient bien sur le lit et n’étaient donc pas décomptées. Quant à l’hypothèse d’une flambée ultime de fièvre – on parle de 43 degrés – elle fut rejetée lorsque MacDougall fit remarquer que les morts par asthénie s’accompagnent plutôt d’une baisse de température >>
<<le docteur suédois Nils O’Jacobson, qui manifestait en 1971 des velléités de reprendre ces travaux, écrivit que MacDougall avait obtenu 92 résultats positifs, confirmant les 21 grammes ! D’où tenait-il ces informations complémentaires ? Deux autres chercheurs, Bernard Duffy, un Anglais et le Dr Zaalberg Van Zelst, en Hollande, auraient répété l’expérience, ayant trouvé l’un et l’autre une moyenne de 70 grammes ! L’âme s’alourdit-elle au fur et à mesure des incarnations ?*>>
Extraits du site <<le monde de l'inconnu .com >>